Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?
Le Pensionnat Rayen est un RPG manga où tu incarnes un adolescent de quinze ans et plus ou un adulte du personnel, dans un pensionnat remplis d'élèves aux caractères bien divers. Entres originaux, musiciens, gothiques, sportifs, pom-pom girls, neutres, racailles, emos, artistes et punks, trouveras-tu ta place ?



 
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 Mes débuts d'interne...[libre]

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MessageSujet: Mes débuts d'interne...[libre]   Mes débuts d'interne...[libre] Icon_minitimeSam 27 Fév - 19:54

Au départ cet endroit je l'ai pas très bien sentis. Maintenant que je m'y retrouve pour la deuxième semaine je crois que mon plan d'évasion est au point. En plus il a fallut que je me batte alors que je suis nouveau. Heureusement qu'elle s'est interposée sinon j'imagine ce qui aurait pu se passer. décidément il ne m'ait pas arrivé grand chose de bien ces derniers temps. Comment j'ai mal ! Ma tête doit ressembler à une chose difforme et très moche. Le goût du sang dans ma bouche me donne envie de cracher et en plus ce con m'a collé un mal de crane affreux. Quelle impolitesse. Et voilà, je cause à sa copine et il faut qu'il pète son câble. Remarque j'ai pas fait un pli. Avec sa voix mielleuse elle lui disait : "J'adore quand t'es jaloux comme ça !" Ouai ba pour la peine je lui en aurait collé une autre. Cela dit je la remercie. Les tatouages de ce mec... pis ces muscles. Non, pas moyen je me serai fait massacrer. Déjà deux pêches dans sa gueule ça le fera réfléchir et moi qui suis le plus mal en point je dirai que je m'en sors pas trop mal. Bordel elle est où cette infirmière à la con ! Et cette infirmerie, d'ailleurs est-ce qu'il y en a une ?! Allez savoir.
Ma mâchoire me parait décalé. A les chiottes. Mon reflet à l'air mal en point j'espère que c'est pas le cas de mon visage. Enfin l'impression est peut-être moins frappante qui sait. Je bois un peu d'eau et la recrache. Cet évier à quelque chose de hypnotisant quand on observe le fond sombre et sale. Quelques gouttes de sang glisse jusqu'au fond et comme elle quitte mes lèvres je décide de cherche l'infirmière quand même. Pour ce qu'elle pourrait faire pour moi. Tiens, que ferait elle pour moi ? si ça se trouve elle n'est même pas là.
Pis d'abord c'est où ? Rappelle toi, rappelle toi ! Le hall, il y a un plan là bas. A mon arrivée j'ai eu l'occasion de poser les yeux dessus. L'avantage de cet accrochage vient du fait qu'au moins je ne suis pas en cours. Français... beurk ! Je... n'aie aucun talent pour cette matière. Première étage, deuxième porte à droite, compris ! Oh la vache, cette ascension me file des vertiges. Pourquoi je m'entends si mal avec les gens ? Deux semaines et je ne connais personne. Personne ne m'approche et mieux que ça, tout le monde m'évite. D'habitude je ne me bats pas. Quelle réputation je pourrais avoir après ça. J'ai envie de faire le vide. De me laisser aller et de tout oublier.
Deuxième porte à droite on y est. Je frappe. Personne ne me réponds. Je retente ma chance un peu plus fort cette fois. Tant pis, j'entre. J'abaisse la poignée et pousse la porte, pourquoi avoir laissé la porte ouverte ? Sur le bureau face à la porte je trouve un post-it sur lequel est écrit, "Je n'en ai pas pour longtemps." Dans ce cas je vais attendre notre chère infirmière. Tout dépend de ce qu'elle appellera " pas pour longtemps". Tiens, le placard à médoc'. Ce mal de t^te me pousse à croire que cette boite d'aspirine me nargue. Je tapote la vitre du doigt. J'aimerais bien ouvrir ce placard mais comme de par hasard c'est fermé. Loin d'être bête cette charmante femme qui possède la clé ne l'aura pas laissé sur la serrure. Quelle cruauté, comme si je voulais me faire un trip aux médicaments ! J'ai mal ! Quoi que ça revient un peu à une petite gueule de bois.
Cool, y a un rideau entre les lits. De quoi se retrouver seul avec moi-même. Je tire un rideau un peu fort pour ce qui se cache derrière. Bah, merde, y avait quelqu'un ?! Une fille qui aura fait un malaise, c'est pas nouveau remarque. A entendre sa respiration posée et tranquille je pense qu'elle dort encore et grâce à ma chance, car j'en ai malgré tout une petite réserve je ne l'ai pas réveillé. Je m'en serais voulus. Je ferme plus doucement le rideau et passe au second lit. J'inspire et tire sur le second rideau. Ouf ! Personne. Juste un lit vide où je pouvais voir dans mon esprit écrit "Gosh". Par-fait ! Je m'allonge, bras croisés derrière la tête. puis en observant ce plafond blanc et dénué de tout détail. Je commence à tomber dans mes songes intensément. Quelque part,
ça soulage. Un peu de silence.
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MessageSujet: Re: Mes débuts d'interne...[libre]   Mes débuts d'interne...[libre] Icon_minitimeDim 28 Fév - 13:53

    Aujourd'hui, cela semblait être la folie dans le pensionnat. Le cuisinier trop accupée m'avait donné la liste de ses courses pour pas que j'y aille pour rien. Qu'il m'énerve celui là. Il croit que je vais à la pharmacie pour rien lui ! Même si les èleves viennent pour rien des fois à l'infirmerie, mes stocks de médocs commencent à chuter. De plus, il fallait que je me depeche, j'avais laissé une èleve toute seule à l'infirmerie. Il fallait juste espèrer qu'elle ne se reveille pas pendant mon absence.
    J'entrais dans le supermarché et acheta tout ce que le cuisto m'avait demandait. Il y en avait pour cher quand même. Faudra qu'il me rembourse ce lascar ! Puis je filais à la pharmacie. Comme d'habitude, la pharmacienne voulait un peu causer, mais là je n'avais pas le temps. Cela parut la vexer. Tant pis. Elle me donna mes nouveaux stocks dans des cartons. Ziou dans la voiture. Et puis hop direction le pensionnat.
    Je devais d'abord m'arreter à la cuisine avec toutes ses courses... Cela pris plus de cinq minutes... Qu'ils étaient lents...! Et bien sur je donna la note au cuisto pour qu'il me rembourse (: Et là je filai à mon endroit à moi. Comme mon chez moi. Enfin c'est mon chez moi, j'y dors le plus souvent. Etant donné que j'avais beaucoup de cartons, je dus demander de l'aide à deux eleves qui passaient pas loin. Ils m'aiderent volontier. Les jeunes sont pas tous méchants ici.
    Je rentrais enfin dans ma salle,la petite ne semblait pas s'être reveiller. Ouf. Mais je remarquais que un des rideau avait été tiré. Huum un secheur qui se cache ? Je fis comme si je n'avais pas vu, au pire si il voulait se faire soigner il me le demanderait. Je commença à ranger mes medocs dans mon placard et je jetta le mot que j'avais laissé sur mon bureau pour prevenir de mon absence.
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