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| Tout ça, juste pour une douche. [PV, Iaroslav] | |
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Auteur | Message |
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Iaroslav Karamazov
Messages : 140 Age du perso : 19 ans ♥ Côté coeur : Côté quoi ?
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 3ème année ♣ Colocataires: Airy Volpel, Ana Lias & Eileen Astrid Kawashi ♣ Relations: | Sujet: Re: Tout ça, juste pour une douche. [PV, Iaroslav] Lun 10 Sep - 1:33 | |
| Que de mystères, décidément. Si cette jeune fille n’était plus une question, physiquement, elle restait une possible interrogation pour tout le reste. Je ne ressentais pas de doute ou de crainte, en observant le fond de son regard. Mais il persistait quelque chose d’indéfinissable chez elle. Une sorte de sentiment qui ne se partage qu’au compte-goutte, créant ainsi une espèce de frustration qui ne se montre pas clairement comme de l’eau de roche. Je ne savais pas tout. J’en ignorais beaucoup. Et c’était tant mieux. Retirant mes lèvres de son épaule, et mes dents de sa chair douce et tendre, je lapais un instant cette modeste blessure. Ce n’était rien. Seul le goût restait. J’appréciais cette saveur salée d’eau de mer mêlée à ce charme féminin. Agata n’était pas une demoiselle mauvaise à déguster. Où que ce soit, d’ailleurs. Mon doigt agile et entreprenant me le confirmait. Elle était tout aussi accueillante qu’une hôte de qualité. Je ne l’aurais lâché pour rien au monde. Sauf qu’elle s’en prenait à moi. Elle me provoquait trop pour s’en sortir en un seul morceau. Etait-elle folle ? Je ne cache pas que c’était bon. Mais…
« Résiste-moi donc, gamine… »
Susurrais-je à son oreille, en venant voir de nouveau ses prunelles océans. Cette petite russe, d’une taille plus que correcte, m’inspirait d’alléchantes envies. J’avais beau ne rien dire, et tâcher de faire en sorte que rien ne paraisse de cette caresse qu’elle me procurait, c’était un étrange déchainement de passions en mon âme. Des passions qui se laissent faire. Et d’autres qui voudraient agir. Mais où se trouve donc la passion, quand elle devient action ? Dans la violence, très certainement. C’était toujours cette dernière, que j’avais connu et appliqué. Alors ma main, déjà éprise de son sein, se mis à le presser davantage. Entre mes doigts, assurant une emprise sur ce galbe qui emplissait parfaitement ma paume, la peau tiède, chaude, se retrouvait compressée. Je la tenais mieux que jamais, et aurais presque pu lui faire mal, en l’imaginant douillette. La serrant, je joignais à cette assurance sur elle une prise différente. De mon autre main, qui s’attardait beaucoup plus bas, j’arquais les phalanges pour composer un crochet. Je prenais son sexe comme il convient, empêchant toute fuite de sa part, et amenait mon pouce contre ce petite bouton charnu, à la naissance de sa fente de plaisir.
« Résiste-moi, et contente-toi de croire que tu pourrais inverser la tendance. Il te faudrait bien de la folie pour simplement pouvoir rêver de me convaincre de violer ta jolie petite chatte. »
Comme je l’avais dit au début, alors que nous venions à peine de nous rencontrer, je n’avais pas l’intention d’abuser d’une fille aux origines si semblables aux miennes. Il y avait fort longtemps que je m’étais mis à commettre des conneries, pour les voir parsemer ma vie. Mais s’il est une chose que je m’étais promise, c’était de ne faire payer cela qu’à ce peuple qui m’accueillait. Comme si j’étais été un mauvais profiteur. Mon peuple, la Russie et cette étudiante, devaient me rendre fier et heureux. Je ne pouvais sacrifier mes propres aspirations. Je n’allais tout de même pas martyriser les seules choses qu’il me restait, et en quoi je pouvais croire, si ? Cela valait-il le coup, pour elle ? Devrais-je vouloir lui faire réellement mal ? Parce que je m’étais retenu, je ne savais plus. Mais la tenir ainsi, sous ma coupe, était une occasion déjà trop belle. Alors… ?
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| | | | Sujet: Re: Tout ça, juste pour une douche. [PV, Iaroslav] Mer 12 Sep - 21:53 | |
| Le mystère n'était-il pas la clé de la séduction ? De l’envoûtement ? Une femme sans secret est-elle attirante ? Rien ne nous pousse à aller vers elle, s'il n'y a rien à découvrir. « Un mystère éternel est une tentation éternelle ». voilà sur quoi je me basais. Je voulais être une tentation éternelle. Mes vas et viens, eux, devenaient un peu plus rapide. Lui résister, j'avouais que c'était plutôt difficile. Sa voix proche de mon oreille, puis ses yeux bleus si proches des miens. C'est presque si je me serais laissée tenter. J'étais à deux doigts de me noyer dans la profondeur de son regard. Céder aussi vite aurait été une honte, pour moi. A quoi devais-je céder ? A tout ce qu'il pouvait m'inspirer. Je ne cédais qu'à une chose, ce plaisir, ce désir croissant. La pression contre ma poitrine était plus forte. La poitrine était une partie du corps douloureuse, chez les femmes, chez certaines, la plus douloureuses, mais pour moi, ce n'était pas le cas. Qu'il fasse de cette partie là ce qu'il veut, j'avais envie de dire. Pour ce qui était de celle qu'il c'était appropriée, plus bas, il faisait aussi ce qu'il en voulait, à ma plus grande satisfaction. Il était arrivé à la partie qui devait me procurer le plus de plaisir, et je m'en rendis vite, très vite compte. Je posais une de me main sur son épaule, et y plantais mes ongles, parcourue par un frisson, presque convulsif.
«N'as-tu pas encore remarqué que la folie est ce qui me caractérise le mieux ? Sans dire que le mot violer n'est pas celui à employer ici. »
J'approchais mon visage du sien, un sourire presque pervers aux lèvres. Je lançais rapidement un regard à sa bouche, puis à ses yeux. J'effleurais encore une fois ses lèvres avec les miennes. C'était sûrement la seule partie que je n'avais pas réellement osé toucher. Comme si cela avait été proscrit. Je les effleurais un peu plus, sans vraiment pourtant l'embrasser. Je me contentais par la suite de venir mordiller sa lèvre inférieur. Après, j'embrassais son visage, jusqu'à son oreille, que je mordillais aussi.
« Si tu ne veux pas de moi... Tu me laisserais m'échapper tout de suite ? »
Je chuchotais, non sans sourire. Il me tenait prisonnière, et, même si je voulais m'échapper, la, dans la seconde qui suivait, s'il ne me laissait pas libre passage, j'aurais pu me débattre, c'était peine perdue. A moins que, perfide, je décide de lui mordre de toutes mes forces l'oreille, ou le cou.
Je lâchais un petit soupire, de plaisir. Les vas et viens, que je faisais afin de contribuer à son plaisir à lui était désormais rapide. Je passais ma langue, dans son cou, sur sa clavicule, sur laquelle je me permis un suçon. Une marque qu'il aurait, pour deux, ou trois jours. Un souvenir qu'il aurait de moi, à chaque fois qu'il poserait les yeux dessus. Voilà ce dont j'avais envie. Qu'il se souvienne bien de moi. Il avait dit qu'il serait toujours là, même après minuit. Mais si ce n'était pas le cas ? Devais-je croire en sa parole ? Lui faire confiance ? Dans tous les cas, il porterait ma marque. Quelle lui soit indésirable, ou non. |
| | | Iaroslav Karamazov
Messages : 140 Age du perso : 19 ans ♥ Côté coeur : Côté quoi ?
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 3ème année ♣ Colocataires: Airy Volpel, Ana Lias & Eileen Astrid Kawashi ♣ Relations: | Sujet: Re: Tout ça, juste pour une douche. [PV, Iaroslav] Mer 12 Sep - 23:48 | |
| « T’échapper ? Il n’en est pas question. »
Pourquoi disais-je cela ? Pourquoi, maintenant que nous en étions arrivés à ce point, où je voulais exprimer mon point de vue avec un semblant de clarté, tout allait contre mon jugement ? Ma raison avait l’air vaincue. La passion l’emportait. Tous ces beaux mots, ces paroles insensées, s’envolaient face à mes actes. Mais je ne pouvais être de ce genre. Non, pas moi. Je lui avais promis. Je lui avais dit que je serais là, qu’elle était russe, que je ne lui ferais de mal, que je la respecterais contrairement aux autres, que… bien des paroles, en somme. Pourtant, je n’arrivais à m’en vouloir. Sentir cette chevelure rose courir contre mon corps, le caresser, et amener la jeune fille à se montrer toujours plus proche n’était pas pour me déplaire. À l’inverse de cette absurde tendance que j’avais voulu me fabriquer, j’apprécier plus que de nécessaire notre relation. J’avais, dans la tête, des capteurs bien trop sensibles et démonstratifs. Je pilonnais son entre-jambe, si l’on puit dire, en allant maintenant dans un va-et-vient qui n’avait rien à envier à ce qu’elle me procurait. Parce qu’elle me provoquait. Elle me testait. Pouvait-elle se le permettre ? Je ne la laisserais pas l’emporter sur mon plaisir, sans l’amener à s’agenouiller.
« Dans le fond, tu es peut-être plus sale que ces nippones dociles et soumises. Tu es, et mériterais bien que je m’applique à te faire comprendre que des mots comme viol et abus peuvent fonctionner, même pour toi… »
De mes deux doigts joints, je pénétrais son intérieur, les avançant jusqu’à ne plus pouvoir, et reculais pour revenir. Je me prêtais à ce jeu avec un certain amusement, sans toutefois oublier ce qui m’animait réellement. Un désir plus fort que les autres était né, et s’exprimait avec une envie inextinguible, visiblement. Je voulais lui montrer qu’elle avait tort. Il fallait qu’elle comprenne qu’elle n’avait pas affaire à un enfant de chœur. J’allais lui prouver que mes gestes et intentions ne resteraient pas tels que les siens. Là d’où je venais, et comme j’avais vécu, il n’y avait pas de place pour le moindre sentiment. Alors, cette tentative de possession, qui s’était jusque-là restreinte à une proximité excessive, ne pourrait se traduire uniquement ainsi. Si nous continuions…
« Retourne-toi. »
Voilà quels étaient mes mots. Et, disant cela, je lui prenais la hanche d’une main, retirait mes doigts humides, et l’incitais vivement à me faire dos. Je lâchais d’ailleurs mon index qui avait bien commencé à profiter de la situation, et lui offrait mon majeur en guise de dédommagement. La pression qu’elle avait eu sur moi devait céder et me remettre le contrôle entre les mains. C’était obligatoire. Elle ne l’emporterait pas contre moi. Certainement pas. Je devais encore la plaquer contre la paroi, toujours fouetté par la douche coulant dans mon dos et sur mes épaules, pour la garder dans cette situation me plaisant bien.
« Jusqu’à quel point existe donc ta folie ? Peut-être crois-tu qu’une petite fille comme toi peut endurer tout et n’importe quoi, et qu’il n’y a aucune faiblesse à te découvrir… »
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| | | | Sujet: Re: Tout ça, juste pour une douche. [PV, Iaroslav] Sam 15 Sep - 23:02 | |
| Je ne m'échapperai pas, il me laissait pas le choix, et tant mieux, j'aurais sûrement été déçue, et surtout vexée s'il m'avait laissé tombé. Agata, moi, quelqu'un, un homme, me laisser tomber, alors que j'étais à sa merci ? Cela aurait été une atteinte bien profonde à mon orgueil, qui malgré ce que j'avais beau dire, devait peut-être être un peu trop démesuré. Dans tous les cas, j'aimais être prisonnière, alors que j'étais d'une nature à aimer la liberté, à ne pas trop supporter d'être... inférieur. Peut-être qu'un changement, une entrave à la règle me faisait du bien. Je changeais, pour une fois je n'avais pas le contrôle, c'était différent de... dans les jeux vidéos. C'était ça qui était excitant, la nouveauté.
Un doigt, puis deux. Des vas et viens. J'aurais presque pu avoir les jambes qui fléchissaient. Parce que ce mouvement n'était pas sans me donner de l'effet. Ma respiration était saccadée, et un peu plus forte. Et sous l'effet du plaisir qu'il me procurait, je dus, malgré moi, arrêter un instant les vas et vient de ma main. Et même s'il disait de moi que j'étais certainement plus sale que les japonaises, je m'en contre fichais. Je savais très bien que je n'étais pas immaculée, loin de là. Jamais je n'avais dis que j'étais « propre ». Et peut-être qu'elle corrompue jusqu'à la moelle ne m'importait que peu, ou même me plaisait. Quelle était le problème ? N'avais-je pas le droit d'apprécier les choses de la vie, le sexe ? Une femme libertine est sale. Pour un homme, ce terme n'est pas employé. Quel sexisme. Entre deux respirations, je lui lançais :
« Si je suis si sale, peut-être que le viol et l'abus ne me déplairaient pas tant que ça. »
Si je le laissais « abuser » de moi, ou me « violer », c'est que je serais docile, et soumise, comme ces petites nippones. Je pouvais jouer, à la fille soumise, sans pourtant l'être complètement. Je voulais trouver un juste milieu. Mais réfléchir dans cette situation, c'était quelque chose de plutôt difficile. J'avais la tête ailleurs, je ne pouvais pas réfléchir, envahit par une excitation, une envie trop importante. Je me laisserai donc aller, sans réfléchir et calculer mes mouvements, alors que depuis le début, je n'avais fait que cela, de telle manière à pouvoir être maîtresse de moi même.
Un ordre de sa part. C'était assez animal, et alors ? Il pensait me déplaire, de la sorte ? J'avais montré que je n'étais pas de celles qui se laissaient faire, donc peut-être qu'il croyait que je n'allais pas obéir. Ce que je ne fis pas tout de suite, mais j'avais bien l'intention de me contraindre à ses ordres par la suite.
« Ma folie n'a pas de limite. Tu ne me connais pas, et ne sais pas ce que je suis capable d'endurer. Je me répète. Je n'ai aucune faiblesse. »
Je me permis de passer ma langue sur ses lèvres, douces. Puis je me retournais donc. Avais-je des faiblesses à me découvrir ? A vrai dire, j'avais répondu à ce qu'il m'avait dit sans pourtant être certaines que ma folie était sans limite, et sans être sure de ne pas avoir de faiblesse. Je me sentais comme prête à endurer n'importe quoi, même de la torture. Pour lui prouver que je n'étais pas n'importe qui, et aussi pour le surprendre. Surtout pour le surprendre. Et le fait qu'il utilise le terme « petite fille » me poussait encore plus à vouloir le surprendre. Moi, une petite fille ? J'avais tout fait, depuis longtemps, pour que l'on utilise pour ces termes pour me désigner. Alors que j'avais tout juste seize ans. Encore dans l'adolescence. Ca il l'ignorait. Parce que j'avais toujours fait en sorte de faire plus que mon âge, physiquement, tout comme dans mes actes. Quel âge avait-il lui ? Il pouvait avoir peut-être mon âge et paraître plus vieux, ou tout simplement être plus âgé. Je l'appréciais encore plus pour ça.
« Et toi, jusqu'à quel point es-tu prêt à donner dans la... sauvagerie? »
L'Homme est un animal, il ne devait pas avoir de limite à être sauvage, si ? J'étais moi même humaine. Et le mot sauvage avait sur moi l'effet contraire de la peur. J'espérais même peut-être secrètement qu'il n'ai pas de limite, comme ça, je pourrais à mon gré m'amuser, et tester les miennes. |
| | | Iaroslav Karamazov
Messages : 140 Age du perso : 19 ans ♥ Côté coeur : Côté quoi ?
Carte d'identité ♣ Année scolaire: 3ème année ♣ Colocataires: Airy Volpel, Ana Lias & Eileen Astrid Kawashi ♣ Relations: | Sujet: Re: Tout ça, juste pour une douche. [PV, Iaroslav] Dim 16 Sep - 1:36 | |
| Je ne pense pas être le genre de personne effrayée par les défis. Je dois même dire qu'en règle générale, j'apprécie de pouvoir prouver ce que je suis, ce que je vaux, et ce que je peux me permettre. Il n'est pas rare que cela m'arrive. Mais de cette manière, avec de telles contradiction, ce n'est pas des plus courants. Habituellement, ce qu'il me faut relever comme provocation n'est pas aussi dangereux. Il ne s'agit pas de devenir mauvais avec ma propre race, mon propre sang. Parce que j'aurais cru pouvoir, ou devoir, faire de cette jeune fille ma protégée. Etait-ce stupide ? Illusoire ? Utopique ? Parce qu'elle était russe, qu'elle m'avait bousculé, me plaisait bien, et était perdue, j'avais eu le désir de la prendre sous mon aile. Et voilà le résultat. Pauvre vice... Collé à elle, dans cette ambiance des plus oppressantes, mais pourtant fort attrayante, pour ne pas dire relaxante. J'appréciais ce moment, bien que je sâche tout à fait qu'il s'agissait d'une folie. Si la sienne n'avait pas de limites, alors qu'en était-il de la mienne. Peut-être convenait-il justement que je corrompe et détruise sa vision de l'infini. Oh... si jamais j'en venais à lui faire prendre conscience de cette faiblesse qu'elle ne voulait reconnaitre...
"De quelle sauvagerie parles-tu ?"
La demandais-je soudainement, en joignant à cette parole un geste des plus mauvais. Me saisissant de sa nuque, et la prenant pleinement pour bien sentir l'emprise que je pouvais avoir sur elle, je voulais attester qu'elle ne réagirait autrement que selon ma volonté. Si elle pouvait en venir à pencher sa tête en arrière, pour me permettre de venir susurrer à son oreille, ce serait parfait. Car, alors, je serais en mesure de lécher le lobe de son oreille, de le mordiller, puis de descendre dans son cou, jusqu'à son épaule, tout en pressant son corps contre la paroi à l'aide du mien. De ma main libre, j'avais saisi l'un de ses seins pour m'assurer qu'il serait parfaitement comprimé à même la paroi, bien qu'il demeure en ma possession. Il n'était plus question de sortie. Etait plutôt venu le moment de trouver une entrée adéquate, à défaut d'en faire une magistrale.
"Tu es bien trop jolie pour que je prenne du plaisir à t'abimer. Quoique voir ton visage frémir sous les coups de la douleur ne serait pas une peine forcément perdue..."
Et mes doigts, de sa nuque, venaient glisser jusque sur sa bouche. Ils l'obturaient, lui interdisant un temps de parler. Et s'accrochant à ses joues avec force, ils m'incitaient à la suite. Je libérais sa poitrine. Qu'importe, puisqu'elle était déjà évidemment coincée. Ce qui comptait plus qu'autre chose, c'était de pouvoir enfin avoir le loisir de reculer un tant soit peu mon corps et d'évaluer cet arrière-train offert. Tchac ! La claque partit sur ses fesses. Plaf ! Puis une autre. Je prenais mon temps, mais encore. Encore. Je la cinglais avec une puissance que je ne voulais pas retenir, en veillant juste à ce que les intervales lui laissent le temps de bien ressentir. Je fessais son derrière en voyant combien toute la cabine en ressentait le coup. Je l'aurais envoyé en avant, si rien ne l'avait arrêté. J'aurais attiré du monde par ce bruit, si nous n'avions été seuls en ces lieux. La douche qui coulait ne pouvait tout couvrir. Surtout lorsque mes nombres, toujours prononcés en russe, atteignaient les huit, neuf et bientôt dix. Agata n'avait le droit de se débattre. Je l'aurais prise contre moi, sinon. Seules les marques rouges indiqueraient les défenses de son corps. Il accusait le coup.
"Puisqu'il faut en arriver là... je te punirai. Chaque jour. Je te ferai regretter et comprendre. Et comme tu aimeras ça, ta peine n'aura jamais de fin."
J'avais cessé de compter et de lui murmurer à l'oreille. Alors, rester droit, fier et grand, à la tenir contre moi, son dos contre mon torse, maintenant arrachée à la cloison. Je guidais simplement mon sexe plein d'envie, excité par cette scène, entre les fesses meurtries de la demoiselle. Je l'approchais au point de n'avoir plus qu'à pousser pour aller plus loin. Mais cela se faisait lentement. Très lentement. Si lentement que c'en était infiniment plus plaisant. Devrais-je faire plus ou poursuivre cette interminable et rédemptrice tentation ? |
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